De nos jours, il est possible de travailler autrement grâce aux nouvelles formes de travail proposées par les entreprises. Il n’est effectivement plus question d’accomplir les différentes tâches dans un endroit unique tel qu’un bureau et d’y rester pendant des horaires fixes. Désormais, il existe ce qu’on appelle travail en temps partagé, portage salarial et auto-entrepreneur qui offrent des cadres plus souples.
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Le travail en temps partagé
Le travail en temps partagé permet à un professionnel de devenir salarié d’un groupement d’employeurs et de travailler à temps partiel pour plusieurs entreprises.
Celui-ci bénéficie d’un contrat unique qui lui permet de conserver plus d’avantages, dont : la sécurisation de son parcours professionnel par l’élaboration d’un CDI, l’accès à la formation professionnelle, le développement de la polyvalence, de son employabilité et de son adaptabilité, la montée en compétence dans différents secteurs d’activité et la connaissance de cultures d’entreprises différentes.
Le portage salarial
Le portage salarial permet au salarié porté de bénéficier d’un statut intermédiaire entre celui de salarié classique et l’indépendance totale. Ce dernier peut justement proposer ses prestations à des clients de manière autonome et il est rémunéré par une entreprise de portage qui le libère de toutes les tâches administratives et de gestion.
Autrement dit, l’intervenant porté peut se concentrer sur son cœur de métier et sur le développement de sa clientèle. Et il peut gérer son emploi du temps en harmonie avec sa vie sociale. Il peut également valoriser son image et il ne risque pas son patrimoine personnel.
L’auto-entrepreneur
Un auto-entrepreneur ou micro-entrepreneur est un entrepreneur individuel soumis à un régime social et fiscal simplifié. Il peut exercer une activité commerciale, artisanale ou libérale indépendante, et ce, à titre principal ou complémentaire, dans le respect de certains seuils de chiffre d’affaires. Ce qui signifie que ce métier est accessible à tous, aussi bien aux demandeurs d’emploi qu’aux salariés, aux fonctionnaires, aux retraités et aux étudiants.
À la différence de l’entreprise individuelle, la micro-entreprise ne peut pas être considérée comme une forme juridique. Il s’agit plutôt d’un régime, voire même un double régime dont : régime micro-social et régime micro-fiscal.
Entre autres, il demande à l’auto-entrepreneur de payer des impôts sur la base de son CA effectivement réalisé et de régler son IRPP au fur et à mesure qu’il réalise son CA. En fonction de son activité, un abattement forfaitaire est appliqué sur son CA pour évaluer l’assiette d’imposition. Puis, il ne paie de charges sociales que sur la base de son CA effectivement réalisé, s’il en réalise un.
